Comment réaliser un résumé/ une prise de notes efficace (partie 3/3) : les Outils

Pour réaliser des résumés idéaux, je préconise d’utiliser deux outils au choix :  le mind map ou le sketchnote. Ces deux outils permettent une vue d’ensemble mais également de structurer les informations

Le mind mapping

Si je devais vous résumer ce qu’est ce concept, je vous dirais que c’est comme si on prenait l’avion. Nous voyage commence ou se termine et nous arrivons à l’étape de l’atterrissage. Avant de commencer la manœuvre, si nous regardons par le hublot, on aperçoit d’abord les nuages, les habitations sont floues, presque invisibles. C’est le centre du mind map. Ensuite on descend et au fur et à mesure diverses choses deviennent perceptibles, ce sont les racines principales qui entourent le centre du mind map. Finalement, les détails apparaissent : les habitations, la nature (arbres, animaux, …) se sont les sous-branches du mind map.  Cet outil vous permettra de réviser en quelques minutes vos chapitres et de vous rendre compte de ce qui est acquis et ce qu’il faut peaufiner pour l’étude. Vous pouvez le réaliser à la main (de préférence) ou utilisez divers logiciels en ligne :

Exemple tiré de du cours de coaching scolaire à distance que j’ai suivi

Si cela vous intéresse, en 5 minutes, découvrez comment réaliser un mindmap grâce à la vidéo de Nomadity.

Le sketchnoting

Quant à lui est une approche différente où l’on met un concept en dessin, son but est de transmettre des idées. Contrairement à ce qu’on pense il ne faut pas être un as du dessin pour en réaliser un.

Vous trouverez ci-dessous, le lien d’une vidéo de Marie-Andrée OUIMET, qui explique ce qu’est le sketchnoting (c’est un peu long mais très clairement expliqué).

Le Mot de la fin :  

Voilà j’espère que cela va vous permettre de réaliser des résumés clairs, précis et efficaces, afin de vous permettre d’étudier par la suite vos cours. Les conseils et la technique peuvent vous paraître longue, mais sachez que RIEN n’est perdu, le temps que vous passez à faire votre résumé et vos questions, c’est du temps gagner pour l’étude. Vous n’avez pas appris à marcher en deux minutes, diverses étapes ont été nécessaires, pour en arriver à effectués des mouvements fluides, stables et réalisés de manière inconsciente. Tout est devenu automatique. C’est le même principe pour beaucoup d’apprentissages.

N’hésitez pas à interagir, à partagez l’article si vous avez aimé.

5 conseils pour gérer facilement le confinement en famille

J’ai longtemps hésité à écrire à ce sujet, vu le nombre de conseils que vous recevez déjà tous les jours et le nombre d’article déjà paru. Au final, en regardant le journal de ce soir, j’ai réalisé que quelques conseils différents pourraient peut-être aider, vu le prolongement de ce confinement.

1. Gérer l’espace de vie

Vous êtes confinés le plus souvent à deux, 3 ou 4, parfois plus, dans un espace réduit, sans pouvoir sortir comme vous le voulez. Il est primordial de gérer l’espace de vie et l’organisation de celui-ci. Il est donc indispensable de prévoir l’espace de chacun, de vous réserver des moments privilégiés, prévoir les tâches quotidiennes etc.. Et donc pour cela, il faut :

  • établir un planning où tout le monde est occupé :
    • heure du réveil/heure du coucher (ce ne sont pas des vacances, gardons le rythme)
    • les tâches ménagères, (qui fait quoi, quel jour, quelle heure)
    • les moments de travail/ moments d’étude,
    • les moment de détente ensemble (jeux, activités, séance de gym)
    • les moments de détente individuels (gérer les écrans et le temps passé devant, les jeux, le gsm)

2. planifier les moments d’étude

Vos enfants vont recevoir des devoirs et leçons à réaliser pendant ce confinement. Il est important de gérer le moment et l’endroit où ces « devoirs » vont être réalisés. C’est l’occasion pour votre enfant d’apprendre l’autonomie et de pouvoir réaliser ses écrits seul. Pendant ce temps, vous pouvez peut-être effectuer votre travail. Prévoyez un moment de pause pour vous et pour lui. Il est aussi important que les pauses (10 minutes et dîner/souper) ne servent qu’à ça, un moment où on se retrouve et on parle d’autre chose que des devoirs ou du travail. Prévoyez un petit planning qui est destiné à votre enfant (avec son aide, pourquoi pas) :

  • Un moment fixe tous les jours pour le travail
  • Autonomie (il doit gérer la quantité de travail : si par exemple 50 feuilles on calcule jusqu’à la fin des vacances de Pâques et on divise les 50 par le nombre de jour SAUF LE DIMANCHE c’est REPOS !!)
  • Un moment où il pourra vous poser les questions pour la matière non comprise (quand serez-vous disponible ?)
  • La matière qu’il doit faire par jour (soit un peu de chaque matière tous les jours OU une matière précise)
  • Les moments où il pourra jouer. Pourquoi ?? le fait que votre enfant puisse accéder à ses jeux quand il veut, crée une tension/frustration quand il en est privé. Par exemple, coupez le wifi de 09 hr à 12 hr et de 18 hr à 19 hr (moment possible pour les tâches et études), cela réduira le stress, puisque de toute façon, il n’aurait pas pu y accéder et pourra mieux se concentrer sur ce qu’il doit faire et ne pas regretter de ne pas pouvoir jouer.

3. Help méthodologique

La manière d’apprendre et de se concentrer est propre à chacun même si nous avons un cerveau qui a besoin en général des mêmes choses. Comme nous sommes dans une situation particulière, prévoyez maximum 1 h 30 à 2 h par jour. Soyez aussi conscient qu’on peut revoir la matière scolaire en jouant (jeux de société, applications…). Pour étudier correctement il faut :

  • limiter, voir enlever toutes les sources de distraction (gsm, musique, bruits, tv, radio, jeux….)
  • être dans un endroit propre à l’étude quand c’est possible (vu la situation) : pas dans son lit, mais assis sur une chaise à une table.
  • On se pause quelques instants afin de se concentrer sur le travail à effectuer. (Quelques respirations – cohérence cardiaque)
  • On détermine un objectif (Je remplis ma feuille de calcul en 30 minutes). Votre cerveau a besoin de savoir qu’il doit se focaliser sur une tâche pendant un laps de temps, cela permet d’éviter la procrastination et favorise la concentration => pour en savoir plus sur la détermination d’un objectif
  • On travaille selon la technique POMODORO , soit 25 minutes de travail, 5 minutes de pause (toilette, boire, manger, respirer .. PAS DE GSM !!). On fait 3 cycles et ensuite on fait une grande pause de 30 minutes. => pour en savoir plus sur la technique du pomodoro

4. Mettez du cadre

N’autorisez pas des attitudes, comportements, habitudes qui ne sont pas autorisées quotidiennement, mais que vous laissez passer suite à la situation. Il est difficile de revenir en arrière. Un enfant à besoin d’un cadre, c’est sécurisant pour lui (temps passer devant les écrans, jeux, heure des repas, le réveil, le coucher…)

Par contre, profitez de ce confinement pour réapprendre à vous connaître. Parfois j’entends des parents dire, oui mais c’est mon fils/ma fille je la connais, c’est tout moi.. Non votre enfant, même s’il a hérité de vos gênes, s’il vous ressemble, n’est pas VOUS. C’est LUI, un être humain, une personne à part entière. Prenez le temps de l’écouter, de voir ce qu’il ressent, comme il vit la situation. Jouer ensemble (noter 20 questions sur des cartes/fiches du genre mon animal préféré, mon professeur préféré, comment je vis mon confinement, qu’est ce que je pense du virus, comment je me sens sans mes amis, comment je gère mon travail à la maison, ça me fait quoi d’être avec maman/papa/mon enfant tout le temps ? ….) et jouez le jeu, répondez chacun à votre tour à ces questions. Soyez honnête et congruent. Il ne s’agit pas de paniquer, mais votre enfant a besoin de voir aussi votre sensibilité, exprimez votre inquiétude pour lui, pour votre famille, pour l’avenir.. Il a aussi besoin de voir comment vous gérer la situation, comment vous trouvez des solutions pour fonctionner malgré tout. Votre parfaite imperfection lui est utile pour que son stress, la pression qu’il se met soit moindre aussi.

5. Prenez du temps pour vous

Restez positif.. et SURTOUT pensez aussi à vous. Facile ! vous allez me dire. Il est ESSENTIEL pour vous, de prévoir une pause (un bain, une douche,… un moment seul(e) dans votre chambre même 10 minutes), pour vous retrouver.. Pendant ce temps PERSONNE ne peut venir vous déranger, vous exprimez votre besoin de prendre ce moment à haute voix, vous vous assurez que tout le monde a bien compris, et vous insistez sur le respect de celui-ci. Au besoin réaliser une pancarte double : « maman prend un moment pour elle ». Instaurez le fait que cette pancarte marque le début de votre moment et SEULEMENT quand elle sera retournée « maman est à nouveau libre » on pourra vous déranger. C’est NON discutable.

Faites-en un jeu et réalisez des pancartes pour chacun.. Convenez des modalités pour chacune (le délais..) Le mot d’ordre est RESPECT !

« Mathilde fait ses devoirs » – « Julien prends sa pause jeu » – « Papa se repose » – « Maman travaille » – « Papa travaille »

Voilà, j’espère que ces petits conseils vous permettront de passer des moments plus faciles ensemble. N’hésitez pas à partager si vous avez trouvé cet article utile ou à me laisser un petit commentaire en-dessous.

Comment réaliser un résumé/ une prise de notes efficace (partie 2/3) : les différentes phases

Après avoir compris l’utilité de la prise de notes, de réaliser un résumé et les différentes compétences que cela permet de développer, nous allons aborder dans cette deuxième partie, les différentes phases qui la(le)le composent. Il existe selon moi, 3 phases : l’échauffement, la première lecture, la seconde lecture et la troisième lecture.

La préparation ou l’échauffement du sportif

  • Débarrassez-vous de tous les éléments distracteurs, faites du ménage sur votre bureau afin de pouvoir vous concentrer sur votre travail.  Prévenez vos amis que vous étudiez et donc que vous ne serez pas dispo pendant 1h 30 au moins ! Eliminez la musique : NON votre cerveau ne sait pas faire plusieurs choses à la fois, c’est l’illusion que vous avez.  Pour caricaturer, il ne fait qu’une chose à la fois. Votre attention zappe très vite, donc vous écoutez un mot de votre chanson, vous lisez un mot de votre résumé et ainsi de suite.  A la fin de la page, il va vous manquer quelques notions !!
  • Posez- vous quelques questions avant de commencer votre résumé
    • Qu’est-ce que j’aimerais retenir de ce cours ? chapitre ? leçons ?
    • Que vais-je faire de ce cours ?
    • Qu’est-ce qu’on attend de moi ?
    • Garder en tête les 5 mots ( qui, quoi, quand, où, pourquoi, comment)
  • Déterminez votre objectif  SMART.  Afin de  Créez une attitude mentale permettant la concentration et la mémorisation.
  • Déterminez le temps de travail et de pause : utilisation de la technique POMODORO
  • Déterminer votre code :  
    • Les couleurs pour les titres, sous-titres, .. doivent toujours être les mêmes.  J’ai pour habitude de souligner en rouge les mots  et en bleu la définition, en vert les exemples. Chacun met la couleur qu’il souhaite. Il s’agit juste d’un code que vous allez établir pour TOUS vos cours
    • Réaliser un code d’abréviation pour aller plus vite (très utile dans la prise de note par exemple.
    • Ecriture : Utiliser la première face de votre feuille et écrivez une ligne sur deux, cela permet de compléter au fur et à mesure vos notes. De plus pendant la prise de note (si c’est un cours) ne vous focalisez pas sur ce que vous manquez, continuer à prendre note, vous compléterez par la suite.
  • Préparez votre matériel : Bic, stylo de couleur, surfaceurs .. Prenez deux feuilles blanches. L’une servira à votre résumé (F1)  l’autre aux questions (F2).

Phase 1 : prise de connaissance

Cette phrase est très rapide, c’est un peu comme quand vous vous rendez à la librairie. Vous voyez un livre qui semble être intéressant et vous le retournez pour lire le résumé.

  • Parcourez rapidement le document, dans l’optique d’avoir une idée de sa structure. C’est un survol, pas une lecture en profondeur.
  • Notez ce que vous vous rappeler de la leçon (du texte) si vous l’avez déjà vu. Si ce n’est pas le cas, c’est une première approche avec le texte. Repérez les titres des chapitres, les sous-titres, les sous sous-titres… Qu’est ce que vous connaissez ou croyez connaitre sur le sujet (notez sur une feuille quelques mots : Feuille 1 ).
  • Si c’est un cours que vous allez suivre en classe par exemple, vous pouvez déjà vous familiariser avec le vocabulaire de la leçon, soit lire en diagonale le résumé des anciens au sujet de ce cours.

Phase 2 : la lecture proprement dite

C’est dans cette phase que l’on va sélectionner ce qui est important, essentiel, afin de comprendre la matière et d’en avoir la structure. C’est ici qu’on va repérer ce qui est attendu lors des examens.

  • Parcourez le premier paragraphe et soulignez dans le texte les mots ou verbes IMPORTANTS pour comprendre, ingérer et retenir les concepts.  
  • A la fin de la lecture de ce premier paragraphe, posez-vous 3 questions sur le contenu de celui-ci. Notez-les sur votre feuille (F2).
  • A la fin de la première page, faites un résumé sur l’autre feuille (F1) de ce que vous en avez retenu (sans relire). Ecrivez une ligne sur deux afin de pouvoir compléter par la suite.  Poursuivez de cette manière pour tout le chapitre.
  • Une fois terminé parcourez vos questions et voyez à quelles questions vous êtes capable de répondre.  

Phase 3 : la lecture pour ma mémorisation

Dans cette dernière phase, vous allez sélectionner ce qui est essentiel  pour VOUS et ce qui va vous permettre de retenir les informations et de les articuler entre elles.

  • Reprendre le chapitre 1. Cette fois, vous allez souligner ou noter des mots qui VOUS sont utiles afin de retrouver l’articulation, la définition ou le concept étudié. Parfois on a besoin d’une phrase un peu plus longue pour se rappeler une définition ou des liens entre les concepts à retenir. C’est propre à chacun.
  • Revoyez votre questionnaire à la fin. Et voyez ce qu’il manque encore.  Si tout vous semble clair, vous avez terminé le résumé du premier chapitre.

En résumé

Ces phases nécessaires, peuvent sembler longues et fastidieuses, mais tout le temps passé sur celles-ci, vous feront gagner un temps précieux pour l’étude. Vous avez votre résumé et vos questions, vous êtes prêts pour la mémorisation, que vous avez déjà commencée !!

Il me reste à vous présenter la dernière partie : Avec quels outils puis-je réaliser mes résumés – partie 3

Comment réaliser un résumé/ une prise de notes efficace (partie 1/3) : son utilité

Le résumé ou la prise de notes permet de consigner l’essentiel par écrit de votre cours, roman, article.  Cela vous permet de distinguer les différents concepts, les classer et hiérarchiser. C’est un passage obligé quand on est étudiant et mis en face d’une matière conséquente, qu’il faut comprendre, avant de la mémoriser.. Il n’est pas toujours aisé de savoir si on résume de manière adéquate. Nous sommes souvent assaillis par de nombreuses questions (en mettre assez, de trop, quoi noter, ce qui est important). Il faut savoir aussi que cette méthode vous servira, non seulement, dans votre vie d’étudiant, mais également dans votre vie professionnelle. En effet, vous serez peut-être amené à assister à des réunions, à faire des comptes-rendus, des rapports, des présentations, des résumés de lois, arrêtés, de monter un projet.

Je vous propose ici, dans cet article, un résumé de ce que je considère (d’après mes lectures et mon expériences), comme un résumé (prise de notes) efficace.

Dans cette première partie nous allons aborder l’utilité de réaliser un résumé ou une prise de note qualifiée d’efficace.

Réaliser un bon résumé ou une prise de notes est beaucoup plus utile qu’on ne le pense. Selon André Giordan, cela vous servira notamment à

  • A stocker les informations utiles et leur donner du sens. Le travail est de repérer, de trier les informations essentielles, de les mettre en relation, afin de pouvoir mieux les stocker (mémoriser).
  • Être actif : favorise l’attention (le fait d’écrire nous empêche de rêvasser, il faut être attentif à ce qu’on entend ou qu’on lit) nous sommes dans l’écoute, cela facilité la compréhension;
  • Aide la mémoire : en effet, le fait de trier, de retravailler afin de pouvoir l’écrire permet de favoriser la mémorisation. Ce qui permet de restituer les connaissance engrangées ;
  • Forme l’esprit à l’analyse, à la synthèse. Pour réaliser un résumé, il faut être capable d’analyser la lecture avec méthode afin de voir de quoi on parle, d’en extraire l’important, de comprendre l’articulation des idées, les enjeux et les arguments significatifs. En fait, cela permet de séparer l’essentiel du superflu, de fixer les étapes d’une argumentation. Les notes nous permettent également de se constituer une documentation (bien les indexer !)
  • Gagner en temps et en efficacité. Votre prise de note ou résumé vous permettra de mémoriser plus facilement.
  • Diminuer le stress. Le fait de noter vous permettra de décharger l’esprit et donc une meilleure concentration sur votre activité (les conseils des profs, les « tips » pour les examens..). Dans le cadre professionnel, ce résumé peut vous servir d’aide-mémoire que vous pourriez accrocher à votre mur face à votre bureau.
Apprentissage, Astuce, L'École, Objet

Dans tous les cas de figure sus-mentionnés, pendant le résumé ou la prise de notes, gardez à l’esprit « Qu’est-ce qu’on attend de moi ? » et prenez vos notes en fonction de la réponse.

Quelles sont les phases de la rédaction ? : partie 2

Travailler efficacement avec la technique du POMODORO

Qu’est ce que c’est ?

Il s’agit d’une technique de gestion du temps de travail afin de vaincre la procrastination, crée par Francesco CIRILLO, dans les années 80.  C’est pendant ses études en Italie, qu’il remarque qu’un minuteur de cuisine, en forme de tomate rouge, lui permet de gérer de manière optimale sa journée et surtout d’être efficace dans la réalisation de ses tâches.  C’est de là qu’est née la technique POMODORO.

A quoi ça sert ?

Cette technique, pour l’avoir utilisé, est fantastique. Au lieu de vous atteler à une tâche pendant des heures, vous structure votre temps en intervalles courts et réguliers de 25 minutes.  Ces intervalles sont suivis de petites pauses de 5 minutes. Cette méthode vous permet d’éviter la procrastination et de vous concentrer pendant un laps de temps précis sur une tâche à réaliser.

Concrètement comment cela se passe ?

Personnellement, pour les étudiants je conseille d’ajouter, un moment « questions » de 5 minutes, avant la pause de 5 minutes. Lors de la réalisation de votre résumé, vous allez non seulement écrire l’essentiel de votre cours à retenir, sur une feuille, mais je vous demande également de poser 3 questions par paragraphe, que vous noterez sur une autre feuille. Et donc les 5 minutes ajoutées, servent à vous poser ces questions, afin de vérifier ce que vous avez déjà acquis sur le sujet et ce qu’il reste à faire.

La combinaison idéale :

  • Pomodoro – 5 minutes de questions – pause 5 minutes
  • Pomodoro – 5 minutes de questions – pause 5 minutes
  • Pomodoro – 5 minutes de questions – pause 20-30 minutes

Vous verrez que dans la littérature , il est conseillé de faire un cycle de 4 pomodoros et de prendre une longue pause de 15 à 30 minutes. Je pense sincèrement que nous ne pouvons pas être attentif ou efficace pendant un laps de temps aussi long (+/-1 h 40). En tout cas, dans mon expérience personnelle, après 3 pomodoros, je ressens vraiment la nécessité de faire une pause. Il est préférable d’en faire un de moins mais d’avoir été concentré au maximum, pendant ce laps de temps.

J’attire également votre attention sur le fait que la pause de 5 minutes DOIT servir à vous changer les idées et NON pas « chatter » ou vérifier vos mails. Dès que vous prenez vos gsm et que vous lisez une information, vous devez attendre 15 minutes avant que votre attention ne revienne à son niveau précédent. Vous venez de perdre donc 15 minutes sur votre temps de travail (qui est de 25 minutes !!). Ce n’est pas du tout rentable et donc pas le but de la technique. Sortez vous aérez, faire une méditation, pensez à autre chose.

Vous devez vous engager pour 3 pomodoros et pas moins. Si au cours d’un pomodoro, survient une interruption, il doit être abandonné. Faites un break de 5 minutes et reprenez votre pomodoro.

Outils :

  • Le plus simple un minuteur de cuisine
  • Les logiciels sur google play (android) :
    • Focus to-do
    • Pomodoro Smart Timer
    • Pomodoro Timer
    • Tomate mécanique
  • Les logiciels pour apple (iphone – smartphone)
    • Be Focused IOS
    • Tomato One IOS
    • Flat Tomato IOS
    • Pomodoro IOS

Pour aller plus loin … de la lecture

Livre gratuit de la technique : http://www.pomodoro-technique.fr/wp-content/uploads/2017/01/livre-francais-Technique-Pomodoro-gratuit-free.pdf

Cet article vous a plu ? partagez-le.. Vous connaissez d’autres techniques innovantes pour lutter contre la procrastination, partageons !! cela me fera grand plaisir..

3 obstacles mentaux qui vous empêchent de faire ce que vous dites que vous voulez faire

Cerveau, Pensez, Pensées, Psychologie, Conflit

Je suis régulièrement les vidéos de TED. Je suis tombée sur un article qui m’a paru intéressant. Celui-ci a été rédigé en anglais par Daniella Balarezo, le 03.05.2019. J’ai résumé en Français certains passages et d’autres ont été repris dans leur entièreté (les exemples notamment). Cet article est tiré d’une vidéo que vous retrouverez ci-dessous. Je pense que cela peut nous éclairer sur la raison de la procrastination, vous savez .. quand nous voulons étudier, faire régime, arrêter de fumer, reprendre le sport.. et que nous trouvons toujours quelque chose d’autre de plus intéressant à faire.

La mauvaise nouvelle : Nous faisons tous face à de puissants blocages mentaux qui nous empêchent d’atteindre nos objectifs. La bonne nouvelle : Nous pouvons les déjouer. Pensez à la dernière fois où vous avez dit que vous vouliez faire quelque chose. Mais malgré votre désir sincère d’atteindre l’objectif, vous n’avez fait que quelques pas sur le chemin. Pourquoi ? la psychologue cognitive et coach new-yorkaise Amanda Crowell a un autre nom pour ce phénomène : l’échec défensif.

Crowell illustre ses propos avec sa propre vie : Elle a toujours détesté le sport ; Après un enfant et un mal au dos récurrent, elle décide et dit à son mari : un dimanche,à partir de cette semaine, elle irait régulièrement au gymnase. Le lundi est venu et reparti sans qu’elle n’y soit allée. Puis les jours, les semaines et les mois ont passé et Crowell n’avait pas mis les pieds dans l’immeuble. Elle dit : « Je voulais aller au gymnase, j’avais l’intention d’aller au gymnase, alors pourquoi je ne vais pas au gymnase ! »

Il s’agit  d’un échec défensif  » : il y a trois puissants blocages mentaux qui vous maintiennent enfermé dans un cycle d’échec défensif. »

Bloc n°1 :  » je ne pense pas que je puisse faire cela »

Après sa révélation du besoin d’exercer, CROWELL a décidé de se lancer dans la course à pied. Un jour, elle a mis ses chaussures de course et est allée faire un jogging. Cependant elle ne porte pas les bons vêtements et la course est un peu chaotique. Pour certains, cela aurait suffit pour les dissuader d’aller plus loin. A l’intérieur de vous, la petite voix est « je ne peux pas le faire, ce n’est pas fait pour moi ». Vous pensez que certains ont le talent ou que c’est génétique mais pas pour vous.

Comment faire : Selon Carol DWECK (université de Standford) il faut avoir un esprit de croissance : c’est-à-dire de voir dans chaque échec, un pas sur le chemin du progrès. Quand vous cultivez ce genre d’esprit, CROWELL dit,  » ces erreurs de débutant perdent leur signification » et se transforment en occasion d’apprendre,  parce que vous savez qu’au coeur du succès, il n’y a pas de talent, mais des efforts qui, avec le temps, produisent des réalisations. »

Selon DWICK, lorsque vous manquez votre but, dite-vous :

« cela me rapproche un peu plus de mon but ».

Bloc n°2 : « Les gens comme moi ne sont pas bons à ça. »

Selon CROWELL, notre propre identité émerge à la suite d’expérimentation, de réflexion personnelle sur qui nous sommes. C’est un processus qui peut être long et « douloureux ». Et bien que nos identités puissent nous donner un sens et une place dans le monde, elles peuvent parfois se mettre en travers de notre chemin lorsque nous tentons de nouvelles choses.

Lorsque CROWELL a obtenu sa première certification de coach, elle s’est battue pour se vendre et trouver des clients. Elle avait prévu d’assister à différents événements de réseautage, mais lorsque les dates approchaient, elle décidait invariablement qu’elle était trop occupée. Grâce à  ces recherches sur l’échec défensif « , elle s’est rendu compte qu’elle résistait à se faire entendre parce que cela allait à l’encontre de son identité. Situation courante, en effet, beaucoup d’entre nous éviteront de faire quoi que ce soit qui menace notre sentiment d’identité. Dans son cas, elle se considérait comme une  » une aide centrée sur le cœur  » et donc le fait de faire sa promotion et de vendre ses services semblait non naturel, congruent – c’était vraiment déplacé ».

  

Comment faire ? Simple dit CROWELL, trouvez des gens qui font ce genre de choses et partagez vos préoccupations avec eux. C’est qu’elle a fait. Elle a trouvé un type d’aide centré « sur le coeur » qui était excellent, pour promouvoir son entreprise et apprendre d’elle. Cette personne (collègue) lui a montré comment elle pouvait vendre son entreprise sans avoir l’impression de se vendre.

Plus vous vous rapprocherez de votre objectif ou de votre activité, plus il vous sera facile d’aller de l’avant.

Bloc n°3 : « Je sens que je dois faire ce truc, mais je n’ai pas vraiment envie de le faire. »

Comme le dit CROWELL :  » Secrètement, tu ne veux pas le faire ; tu penses juste que tu devrais le faire. En fait, il existe deux raisons pour lesquelles nous voulons les choses :

  • « D’une part pour des raisons intrinsèques, soit des raisons qui viennent de l’intérieur de vous, de vos intérêts, de votre curiosité, ou … de vos espoirs et rêves à long terme. »
  • D’autre part, pour des raisons extrinsèques, faire comme tout le monde : ‘Tous les gens cool le font’ ;  « Ma mère serait fière » ; « Mon garçon, j’aimerais être admirée ».

Crowel nous donne un exemple : Disons que vous essayez de respecter un budget et vous avez découvert que le déjeuner est votre plus grosse dépense, alors vous vous engagez à le mettre dans un sac brun. Un jour, tu oublies ton déjeuner et ta collègue te demande de sortir avec elle. Tu es confronté à un choix : Tu manges avec elle et tu dépenses 25$ pour un repas, ou tu achètes une barre protéinée à 2$ au distributeur ?

Eh bien, si vous économisez pour des raisons intrinsèques – vous venez de vous fiancer et vous dépensez de l’argent pour une maison et des enfants – vous êtes plus susceptible de respecter votre résolution, dit M. Crowell.

Mais si vous le faites pour des raisons extrinsèques – vous voulez sauver votre sœur – vous êtes plus susceptible de dîner au restaurant, dit-elle.  » Il ne suffit pas de contrebalancer l’envie, le désir du moment, d’aller au restaurant avec votre ami. Et ça marche pour tout ce avec quoi vous vous battez. »

Pensez à votre raison intrinsèque – la motivation derrière ce que vous dites vouloir faire – comme votre propre source d’énergie personnelle. Elle est là pour que vous puissiez l’exploiter quand vous en avez besoin. Et vous en aurez besoin. Crowell dit :  » Si le travail que vous voulez faire est difficile, il y aura des pulsions au moment de quitter, et c’est l’intérêt intrinsèque qui vous permet de vous concentrer sur les étapes que vous devez franchir « .

Si vous ne trouvez que des raisons extrinsèques à votre activité ou à votre objectif, vous pouvez décider que cela ne vaut pas la peine de poursuivre. Mais si vous sentez au fond de vous que ça l’est, elle dit, « vous devez tracer la ligne de démarcation entre la chose que vous voulez faire et vos espoirs et rêves à long terme. » Une fois que vous avez trouvé cette inspiration sous-jacente, écrivez-la sur un bout de papier et glissez-la dans votre portefeuille.

CROWELL dit : « Quand le moment arrive où tu veux partir ou abandonner, tu dois sortir ce bout de papier. » Lisez-le, et laissez-le vous recharger.

13 conseils pour mieux apprendre

Apprendre, un mot tellement utilisé mais que veut-il dire ? Selon les définitions reprises dans le Larousse, apprendre (dans le sens de mon blog) veut dire :

  • Acquérir par l’étude, par la pratique, par l’expérience une connaissance, un savoir-faire, quelque chose d’utile : Apprendre l’anglais. Un enfant qui apprend facilement.
  • Enseigner à quelqu’un quelque chose, lui faire acquérir une connaissance, un savoir-faire, une expérience : Il essayait de leur apprendre le dessin.

On retrouve les mots connaissances, savoir-faire. Il s’agit donc, grâce à cet apprentissage de posséder une connaissance et de pouvoir l’utiliser dans une situation donnée.

Depuis des années, des décennies les chercheurs s’intéressent à notre cerveau et à son fonctionnement, d’abord en général et ensuite, de plus en plus en rapport avec l’enseignement, l’éducation. Les neurosciences sont entrés dans la classe afin de mieux comprendre comment les élèves apprennent. En fonction de leurs découvertes, les chercheurs proposent des stratégies qui peuvent être utilisées par les enseignants, pour favoriser l’apprentissage et la mémorisation à long terme. Il s’agit de passer de consciemment incompétent à inconsciemment compétent.

J’ai choisi une vidéo de Stanislas DEHAENE qui propose 13 conseils pour mieux favoriser l’apprentissage. N’hésitez pas à visiter son site, il regorge de vidéo, cours, conseils précieux sur le sujet et sur le fonctionnement du cerveau.

Les « dys »… pas facile à comprendre..

Beaucoup d’enfants souffrent de troubles de l’apprentissage. Certains sont très connus et étudiés (dyslexie, dysorthographie, dyspraxie), d’autres le sont moins (discalculie). Ces troubles pourrissent littéralement la vie des enfants qui en sont les otages. Ces enfants se sentent démunis, incompris, stigmatisés par une « absence » de compréhension ou de savoir faire que les autres semblent maîtriser. Alors si cette émission peut juste ouvrir votre curiosité.. je signe des deux mains.

J’ai toujours adoré les « c’est pas sorcier ».. Une émission facile à comprendre, qui permet d’aborder divers thèmes assez complexes..

Cette émission se consacre aux troubles de l’apprentissage. Une petite explication simple et claire pour permettre de savoir de quoi on parle. Evidemment il faut approfondir le sujet, mais débroussaillage intéressant.

Bonne écoute !!

N’hésitez pas à réagir..

Quelles sont les conséquences du stress sur notre cerveau ?

Femme, Bibliothèque, Livres, Étude, Lecture, Savoir

Qu’est ce que le stress chronique ? A quel point est-il nocif pour notre cerveau ? Comment fonctionne notre cerveau pendant une situation stressante ?

Avant d’entamer l’article, je pense qu’il est utile de formuler la différence entre d’une part LE STRESS AIGU ,qui découle d’événements spécifiques pour lesquelles nous percevons que nous avons peu de contrôle, où des éléments imprévisibles et nouveau, qui menacent notre égo, existent. Ce stress n’est pas forcément négative, il déclenche la sécrétion d’hormones qui nous permet de le gérer. Exemple : éviter un accident de roulage, la peur avant de monter sur scène. Et d’autre part, LE STRESS CHRONIQUE, qui découle d’une exposition répétée ou prolongée à une situation stressante. Celui-ci affaiblit notre santé et peut conduire à l’épuisement de l’organisme. En effet, l’organisme sécrète constamment des hormones du stress qui entraine une dépense énergétique trop élevée et peu conduire à terme à la dépression.

Une équipe de chercheurs de l’ETH Zurich s’est penchée sur la question de savoir comment fonctionne notre cerveau pendant une situation stressante ? Ils ont réussi à montré que libération de certains neurotransmetteurs, ici la noradrénaline, refaçonne la communication entre les grands réseaux de notre cerveau. Leurs résultats permettent de mettre de mieux appréhender les processus neuronaux rapides qui se manifestent, dans le cerveau, lors d’événements stressants.

Dans ces situations stressantes, par exemple une mise en danger dans la circulation routière, notre cerveau n’a que quelques fractions de seconde pour prendre une décision de vie ou de mort. Il est donc impératif qu’une communication efficiente entre les différentes zones du cerveau soit établie et ce par le biais de la formation de réseaux dits fonctionnels. A l’heure actuelle, la manière dont les opérations « rapides » se déroulent, restent encore relativement énigmatique.

Certains tests ont proposé le rôle majeur de la noradrénaline, celle-ci étant libérée en grande quantité lors d’événements stressants. Il ne s’agissait que d’une suggestion puisqu’aucun n’examen ne pouvait le confirmer. Depuis, deux chercheurs Johannes Bohacek et Nicole Wenderoth, ont effectués des tests sur des souris, qui ont confirmer l’hypothèse que la libération de la noradrénaline suffisait à mettre en lien très rapidement différentes régions du cerveau. C’est grâce à la stimulation du locus coeruleus, qui fournit la noradrénaline à tout le cerveau, que les chercheurs ont pu confirmer cette hypothèse. Les résultats ont pu être observés grâce à une imagerie par IRM, en temps réel. Les résultats ont laissé les chercheurs bouche bée, ils espèrent maintenant d’effectuer des analyses similaires chez l’homme pour diagnostiquer l’hyperactivité pathologique du système noradrénaline, qui est associée aux troubles anxieux et paniques.

référence de l’article : https://neurosciencenews.com/brain-stress-14580/?fbclid=IwAR3IIEYWerTq8w2Z6ra9xe4HwV2fAeA7QcAd_WhyK45y6nyp2dVWugxe5w8

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Comment gérer vos examens ?

Il est important de prendre le temps de planifier vos examens, afin de pouvoir organiser vos révisions et éviter la procrastination.

Quelle est l’utilité d’un planning ?

Tout d’abord, le planning vous permettra d’avoir une vue d’ensemble de ce que vous devez réaliser. Il vous permettra d’éviter de vous disperser, d’anticiper, de ne rien oublier. Il s’agit également d’une source de motivation. En effet, il est important de pouvoir visualiser l’état d’avancement des tâches à faire.

La réalisation de votre planning

Il existe plusieurs manières de le réaliser. Soit de manière habituelle : avec du papier format A3 et un stylo ou crayon; soit à l’aide d’un mind map.

Comment réaliser votre planning ?

  • Il est important de tenir compte de votre emploi du temps réel. Celui-ci inclus notamment vos activités extra-scolaires, sportives, sorties entre amis, repas, visite en famille, heure à laquelle vous allez dormir, vos moments de détente, les pauses. Il est important qu’il respecte votre rythme.
  • Utilisez différentes couleurs pour les différents domaines (sport, pause, étude, repas, famille/ami).
  • Il est important de noter vos examens et de pouvoir évaluer votre temps de travail pour chaque cours, pour cela, il est impératif de tenir compte des difficultés, de la théorie, de la partie exercice.

Vos révisions

Vérifiez votre bureau, ELIMINEZ TOUTES LES SOURCES DE DISTRACTION. Installez-vous dans un endroit où vous ne serez pas dérangé. Eliminez les écouteurs sur les oreilles. Vous pouvez mettre une musique douce en arrière-fond. Sur YouTube plusieurs musiques destinées à l’étude. Par exemple : https://www.youtube.com/watch?v=ADd1P1UY63s

L’étude : EFFECTUER DES CYCLES DE 20 MIN D’ETUDE et de 5 MINUTES DE QUESTIONS . Soit vous les faites en compagnie d’un autre élève, soit vous vous enregistrez, soit vous les écrivez et vous y répondez. Après 50 minutes, maximum 1 h d’étude, faites une pause de 10 à 15 minutes. Sortez, aérez-vous, faites quelques exercices d’étirement. Ne plongez pas sur votre Gsm ou sur la PlayStation. Pourquoi ? parce qu’il faudra 15 minutes supplémentaire à votre cerveau, pour vous reconcentrer. Il s’agit d’une perte de temps inutile.

ON COMMENCE

Après avoir vérifié l’ordre de vos cours, si vous avez toute la théorie, tous les exercices et les corrections. Essayez de vous souvenir des parties du cours, sur lesquelles le professeur à insisté, de quel type était votre examen, quel genre de question. C’est parti..

  • Eliminez les distractions
  • Mettez une intention dans l’étude de votre cours (pourquoi allez-vous l’étudier, que voulez-vous savoir, que savez-vous déjà ? Définissez votre objectif https://coachingscolaire.blog/2019/07/18/comment-se-fixer-des-objectifs/)
  • Faites un 1er cycle d’étude, question, pause 5 minutes..
  • Faites un 2ème cycle d’étude, question, pause 5 minutes.
  • Ménagez une pause de 15 minutes.
  • Reprendre les 2 cycles.
  • Organisez vos révisions. Il faut réviser minimum 5 fois.

REVOIR PLUSIEURS FOIS LA MATIERE : il ne faut pas se contenter de lire, mais bien d’être actif dans la révision : faire des résumés, faire des exercices, simulez un examen, faire des Mind Map).

SE PROJETER POSITIVEMENT : imaginez le jour de l’examen, confiant, serein, vous lisez vos questions avec attention, vous souriez intérieurement car vous connaissez les réponses. Vous répondez avec aisance. Vous vous voyez remettre votre feuille d’examen confiant Vous savez que vous avez réussi. Vivez cet instant, ressentez-le, faites comme si cela s’était réellement produit.